Fêtes, coutumes et traditions |
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Amusements, loisirs et fêtes | |
Dans les fermes, avant l'arrivée de la mécanisation (à Montory, dans les années 1960), il y avait pour les enfants obligation à aider les parents et nous le faisions sans rechigner. A la maison, à la ferme ou dans les champs, les menus travaux ne manquaient guère. A l'école, les jeux les plus prisés étaient la pelote à main nue, les billes et les barres. Le dimanche, après la messe, nombreux étaient les jeunes et adultes qui se livraient des joutes interminables sur le fronton de l'école. Un autre fronton, peu utilisé celui-là, se trouvait dans la rue du milieu. |
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Depuis 1945, hormis quelques années de galère, Montory a eu des comités de fêtes très actifs. Jusqu'en 1960 ????, les fêtes se déroulaient dans un cadre naturel magnifique : le bosquet de chênes de Histouye. |
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A cette époque, faute d'argent, les frais liés à l'organisation des fêtes étaient aussi réduits que possible. Les moins timorés des jeunes pouvaient aller décrocher un lot au sommet du mât de cocagne. Les autres se contentaient d'un paquet de cacahuettes, d'une surprise, d'une pochette de bonbons ou d'une sucette. Les adultes se livraient à des jeux de force, d'adresse ou d'agileté avec les lancers de barres de fer : en tournant, entre les jambes, sans élan et les différents sauts : en longueur, à pieds joints, le triple saut. Les bals, avec orchestre et buvette, drainaient la population du village et toute la jeunesse des alentours. Depuis 1947 et quasi sans interruption, le comité des fêtes organise une course de vaches landaises : 2007 était donc l'année du 60ème anniversaire des courses landaises à Montory. |
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Coutumes et traditions | |
Le mardi-gras, les enfants se déguisaient. Dans leur quartier ou au bourg, ils allaient de maison en maison. Après les avoir identifiés, la maîtresse de maison leur offrait crêpes ou beignets, leur donnait l'obole ou un peu de nourriture : oeufs, fruits. |
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Quelques jours avant les fêtes locales du 15 août, les jeunes du comité des fêtes se répartissaient les maisons par quartiers pour faire la quête.Quant au bourg, les aubades avaient lieu après la messe et le dépôt de gerbe au monument aux morts, soit avec les musiciens de l'orchestre, soit avec les danseurs souletins de Montory, soit avec la banda, clique ou harmonie qui allait animer la course landaise. |
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Séances récréatives | |
En 1956, à l'école libre, sous la houlette du curé, les jeunes du village produisirent un spectacle composé de saynètes. | |
Autres photos | |
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